Dragon Age Inquisition : Sites importants des Marches

Dragon Age Inquisition les sites importants


Il y a 17 sites importants dans les Marches solitaires, chacun d'eux rapporte 500 Influence et 2 points de Puissance.

1. Le Garde des ombres
2. Le moulin de Golefalois
3. Nid de dragonneaux
4. Maférath repentant
5. L'amante de Tyrdda
6. Hendir, prince nain et ami de Tyrrda
7. L'enterrement de la bête
8. Fort Connor
9. Pont détruit
10. Le départ de Son amante
11. Thelm aux mains d'or, le rêveur
12. Tyrdda Vivehachen, mère alvar
13. Tyrdda file retrouver Son amante
14. Thelm aux mains d'or, le tentateur
15. Les brûlures du tentateur
16. Grand pavillon forestier
17. L'exil de Lornan



Le Garde des ombres

Origine Nain paria :

L'héroïne/héros de Férelden naquit parmi les parias des taudis d'Orzammar. Elle/il se fit passer pour un homme de la caste guerrière dans la Lice d'Orzammar, ce qui constitue un crime puni par la peine capitale. Cependant, ses exploits dans l'arène impressionnèrent tant le commandeur Garde des Ombres Duncan qu'il décida de la/le recruter avant qu'elle/il ne soit exécuté(e).

Origine Nain(e) noble :

Deuxième héritier(e) du roi Endrin Aeducan, l'héroïne/héros de Férelden vit le jour au sein de la Noble maison Aeducan d'Orzammar. Après avoir été accusé(e) de fratricide, elle/il fut exilé(e) dans les Tréfonds. C'est là qu'elle/il fit la connaissance du commandeur Garde des Ombres Duncan, qui la/le recruta au sein de son Ordre.

Origine Elfe citadin :

L'héroïne/héros de Férelden grandit dans la pauvreté du bascloître elfe de Dénérim.
Lors de son mariage, une dispute violente éclata avec un noble de Dénérim et se solda par l'arrestation de l'héroïne/héros par les gardes de la cité. Le commandeur Garde des Ombres Duncan la/le recruta alors, lui épargnant ainsi la peine capitale.

Origine Elfe Dalatien :

L'héroïne/héros de Férelden appartenait jadis au clan des elfes Dalatiens. Une malheureuse rencontre avec un miroir magique maléfique corrompit un jour sonâme et la/le mena au seuil de la mort. Seule l'intervention des Gardes des Ombres réussit à la/le guérir. Pour protéger sa vie, son clan la/le confia au commandeur Garde des Ombres et à son Ordre.

Origine Humain(e) noble :

L'héroïne/héros de Férelden était la fille de Bryce Cousland, tiern de Hautecime. Lorsque les forces du Iarl Rendon Howe attaquèrent le château Cousland et décimèrent presque toute sa famille, l'héroïne parvint à s'échapper avec le commandeur Garde des ombres Duncan, qui lui offrit alors de rejoindre son Ordre.

Si l'héroïne a épousé Alistair :
Après avoir vaincu l'archidémon et mis un terme au cinquième Enclin, l'héroïne de Férelden épousa le roi Alistair et fut couronnée Reine de Férelden. Ils régnèrent ensemble sur le pays pendant plusieurs années heureuses et prospères, avant qu'elle disparaisse.

Si le héros a épousé Anora:
Après avoir vaincu l'Archidémon et mis un terme au cinquième Enclin, le héros de Férelden épousa la reine Anora. Il porta le titre de prince consort pendant plusieurs années heureuses et prospères avant de disparaître.

Origine Mage :

Membre du Cercle des Mages de Férelden, l'Héroïne/héros de Férelden avait passé la majeure partie de sa vie dans la Tour du lac Calenhad. Le premier enchanteur Irving la recommanda un jour auprès du commandeur Garde des Ombres Duncan. Peu de temps après avoir réussi sa Confrontation, l'héroïne/héros fut invité(e) par Duncan à rejoindre son Ordre.

Si le Garde a fait le sacrifice ultime :

L'héroïne/héros Garde des Ombres affronta l'Archidémon et parvint à le tuer, mais au sacrifice de sa vie pour sauver Férelden. Sans Archidémon à leur tête, les engeances succombèrent à l'Anarchie et la horde maléfique fur rapidement mise en déroute.

Si le Garde, Alistair ou Loghain a participé au rituel noir de Morrigan :

Après avoir vaincu l'Archidémon et mis un terme au cinquième Enclin, l'héroïne/héros de Férelden assura la charge de Commandeur-Garde et entreprit la restauration de l'Ordre à Férelden. Elle/il remplit cette tâche avec tous les honneurs pendant plusieurs années avant de disparaître.

Si le Garde n'a pas été contacté par l'Inquisition :

Personne ne sait ce qu'elle/il est devenu(e).

Si le Garde a été contacté par l'Inquisition :

L’Inquisition à découvert qu’il/elle était parti(e) vers l’ouest dans l’espoir de trouver un moyen de soigner l’Appel.
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Le moulin de Golefalois

Ces ruines sont les vestiges d'un moulin qui dominait autrefois le village de Golefalois. Il a été détruit par une attaque des engeances, dans les derniers jours de l'Enclin, et n'a jamais été reconstruit.
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Nid de dragonneaux

Le nid de dragonneaux est maculé de traces de suie et jonché d'ossements et de piques pointues calcinées, restes d'armes improvisées qui n'ont visiblement pas fait le poids.
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Maférath repentant

Une statue de Maférath pleurant la mort de sa femme, la prophétesse Andrasté, qu'il a trahie par jalousie.
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L'amante de Tyrdda

Dennet,

Je me fiche de savoir si ce terrain est le meilleur de toute la ferme ou non : les fermiers suivent les vieilles coutumes et les anciennes traditions, et il faut respecter ça, tout comme je respecte ta manie de tordre les vieux clous de fer à cheval en forme de porte-bonheur, que tu glisses dans la doublure de nos selles. Si les gens du coin veulent garder cet arbre en l'honneur de l'amante elfe de Tyrdda, on garde cet arbre, point. Ce qu'on perd en terrain, on le gagnera en loyauté.

Si je vois que l'arbre a disparu pendant mon absence et que vous me servez une histoire de tempête ou je ne sais quoi, Bron et toi, j'arracherai la vérité à Seanna et je te promets que tu passeras le reste de tes nuits dans ta chère étable.

Avec tout mon amour,
Elaina
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Saga de Tyrdda Vivehache, mère des Alvars

Première strophe :

Voici l’histoire légendaire de Tyrdda Vivehache, femme d’esprit :
Son peuple libre, vif et véloce, rude et robuste, l’arme hardie,
Sage et serein, calme, éclairé, béni par ses dons honnêtes.
Elle mena sacrifices, tira enseignements, livra quêtes.
Vive sa hache, au cristal de feu, brandie face aux capricieux,
Don de sa bien-aimée elfique, la dame rieuse des cieux,
Toutes les lames s’y sont cassées,
Toutes les demandes écartées,
Tyrdda Vivehache la rêveuse,
Mère des Alvars, coryphée.

Deuxième strophe :

Thelm aux mains d’or, aux doigts graisseux, aux bagues d’émeraude et de rubis,
Trouva des tribus en peine, les engraissa, les affaiblit.
De grands guerriers et fort nombreux, partirent combattre ses guerres,
Les corps couverts d’écailles de drakes, le sang macula les Terres.
Il leur vanta un riche trésor, au nord voilà qu’il brillait,
Un murmure, et direction la Cité d’Or dont il rêvait.
Conseillé la nuit en rêve,
Des voix que les sages ignorent,
Il écouta, et la troupe
À travers l’écume fut poussée.

Troisième strophe :

Thelm tenta de charmer Tyrdda, la couvrit d’or et d’argent,
Il voulait ses hommes pour guerriers, voleur d’âme, voleur de sang.
La Main d’or conseilla la foule frappée par l’hiver glacé :
“Franchissons l’écume vers les délices de la cité dorée“.
Tyrdda Vivehache, folle de colère, brandit son cristal de feu,
Contre Thelm et ses manigances, insensible à ses doux yeux.
“Nul ne brisera ma tribu,
Aucune parole de démon,
Sens les feux de ma fureur,
Paroles de rêves, ne sont que mensonges“.

Quatrième strophe :

Tyrdda Vivehache, Thelm aux mains d’or, combattirent hache contre épée.
Cotte de mailles et targe d’argent, Thelm était fort protégé.
Lame de dragon ensanglantée, les guerriers crièrent de joie,
Tyrdda et sa hache embrasée versèrent les larmes du combat.
Vive la hache de sa bien-aimée, la dame des cieux rit encore,
Tandis qu’hélas se répètent les mensonges de la Main d’or.
“Vers le nord, les cités dorées,
Écoutez la voix des rêves !“
Abattu, le menteur d’argent s’envole
Vers les cieux, rêver d’éternité.

Cinquième strophe :

Tyrdda Vivehache, inébranlable, sortit sa tribu des plaines,
Lames émoussées, coeurs oppressés, bataillèrent contre leur peine.
Vers les montagnes enneigées, à la recherche d’un abri,
Elle trouva enfin une grotte, mais un dragon troubla la nuit.
La bête se mit à rugir, Tyrdda pria sa bien-aimée :
“Pour toi, ma chère et tendre, la couronne j’ai dû abandonner !“
La foudre vint alors s’abattre
Depuis les cieux en colère,
Le dragon tomba au sol,
Sous les décombres, éliminé.

Sixième strophe :

Tyrdda Vivehache, fière des siens, à nouveau hors de danger,
Forts de l’effort, sortis grandis, plus sages, plus déterminés.
Sous le sol, les hommes de pierre, guerriers d’Hendir, étaient prêts,
Face à la tribu aux haches et aux épées qui brillaient.
Sa chère bien-aimée vint murmurer à l’oreille de Tyrdda,
Les coeurs des nains furent brisés, et c’est alors qu’elle demanda :
"Laissez la tribu des nains
Dans leurs grottes, dans leurs foyers,
Et par l’échange, le commerce,
Que les nains d’Hendir trouvent la paix“.

Septième strophe :

Tyrdda Vivehache, amie des nains, rejoignit sa bien-aimée.
Mais au réveil, un doux matin, sa douce s’en était allée.
Des murmures au détour d’un rêve, mais le silence toujours pesant,
Sa lignée guerrière s’éteindrait à moins qu’elle accouche d’un enfant.
Aval’var, sa bien-aimée, toujours présente à ses côtés ;
Un jour, l’enfant de Tyrdda, Morrighan’nan, devrait briller.
Elle obéit aux murmures et
Hendir, prince nain, pour la lignée,
Lui donna cet héritier.
Les Alvars, son nom, notre trophée.

Huitième strophe :

Tyrdda Vivehache, chef des Alvars, aidée de ses nains alliés,
Défit toutes sortes d’adversaires, à force de témérité.
Puis Tyrdda trouva Hendir, prince nain, ami et géniteur,
Qui lui rendit sa liberté, et lui souhaita le bonheur.
Son enfant vint à lui succéder, une fois les torts réparés,
Dans l’ignorance sa tribu désormais n’était plus plongée.
Dernier voyage vers les cieux,
Vers sa bien-aimée des rêves
Unies parmi les oiseaux,
Coeurs apaisés, âmes délivrées.
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Fort Connor

Fort Connor fut bâti par le jeune Iarl Eamon après que les Orlésiens furent boutés hors de Férelden. Il fut nommé ainsi en hommage au père d'Eamon, tombé à la bataille des Collines occidentales, qui donna également son nom à son petit-fils.

Déterminé à ériger Golefalois en symbole de la puissance de Férelden, le Iarl fit construire Fort Connor pour surveiller les Marches Solitaires de toute invasion ennemie. L'édifice démontra la solidité de ses fortifications face aux engeances du cinquième Enclin, cédant uniquement sous les assauts des émissaires. A l'époque, Eamon avait déclaré que Fort Connor "ne pouvait être détruit que par la magie, et pour ça, le Créateur nous a donné les templiers".

- Extrait du Guide touristique de Golefalois de soeur Dorcas Guerrin.
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Pont détruit

Ce pont a été détruit récemment, sans doute au cours d'un affrontement entre des apostats et des templiers renégâts.
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Grand pavillon forestier

Le fait que le grand pavillon forestier soit si éloigné du château de Golefalois peut surprendre, mail il y a pour cela une raison bien précise. Plus d'une ère avant l'occupation Orlésienne de Férelden, le Iarl Jacen Guerrin ordonna sa construction pour offrir des quartiers confortables à son "grand ami", Ser Corram le barde, chanteur célèbre et fin bretteur. La Iarles Marguerite, l'épouse de Jacen, acceptait évidemment la relation de son époux avec Corram, mais à une simple condition : que le barde ne vive pas au château pour éviter tout scandale.

"La chevauchée du Iarl Jacen" résonna dans les tavernes pendant de longues années, pastichant gentiment les efforts du Seigneur pour revenir du pavillon avant le lever du soleil. Ser Corram y vécut heureux jusqu'à sa mort, à l'âge de quatre-vingt-dix ans, plusieurs années après le décès du Iarl Jacen. La Iarles Marguerite ordonna que le corps de Corram soit incinéré avec tous les honneurs, drapé d'une cape de chasse qui appartenait à son époux.

Après la mort du barde, le pavillon servit à recevoir les invités de la famille du Iarl, ou fit office de quartiers d'été pour ses plus jeunes membres. Il fut abandonné suite aux événements tragiques du cinquième Enclin.

- Extrait du Guide touristique de Golefalois de soeur Dorcas Guerrin.
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L'exil de Lornan

Le Iarl Tiranon Guerrin eut son fils aîné relativement tard, et tous les espoirs reposaient sur lui pour reprendre le flambeau de son père. Malheureusement, le jeune Lornan Guerrin s'avéra d'une fainéantise patentée et préférait vider les coffres de son père plutôt que de s'intéresser aux affaires du comté. Dans sa frustration, Tiranon ordonna la construction d'un fort dans les montagnes et y envoya Lornan, décrétant qu'il ne pourrait revenir à Golefalois tant qu'il n'aurait pas maté les bandits qui sévissaient dans la région.

Les chroniques officielles racontent que Lornan reprit sa vie en main, qu'il mit les hors-la-loi en déroute et qu'il était un autre homme quand il revint à Golefalois. Cependant, certains membres de la famille Guerrin murmurent en privé qu'il s'agissait bel et bien d'un autre homme, un soldat qui ressemblait vaguement à Lornan et qu'il s'était illustré dans les combats contre les bandits des montagnes, alors que Lornan serait resté couler des jours tranquilles dans sa forteresse isolée jusqu'à sa mort.

- Extrait du Guide touristique de Golefalois de soeur Dorcas Guerrin.
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